Mon camp de base est désormais la Bretagne des bois. Dans le Bourbonnais je m'étais réparée. Ici je veux m'épanouir. Ce n'est pas toujours facile. Allées et venues du quotidien de Madame Nicole en pays Pourlet.
dimanche 31 octobre 2010
Sortir en Creuse : les mini-bals de la Soute
Les mini-bals c'est pour apprendre
à soi
aux autres
les bases de bal
et plus si affinités
ou juste se rencontrer
ou se marrer
ou tout en même temps.
En principe,
si on est assidu
on est prêt pour le grand bal de mars
plutôt Auvergne cette année
puisque c'est Komred qui s'y colle.
jeudi 28 octobre 2010
samedi 23 octobre 2010
Lettre ouverte à ma descendance
Mes deux fils sont de vraies loutres.
Je ne sais pas si je viens de Vénus, mais eux, il viennent VRAIMENT de Mars.
Du reste, on voit bien qu'ils n'ont atterri qu'hier : il leur est totalement impossible de repérer la touche on/off du lave-vaisselle !
Quant au panier de linge sale, alors là, c'est l'arche perdue, et les candidats aventuriers ne se bousculent pas pour la retrouver.
Avec ça, mieux vaut les avoir en photo qu'à table.
Certes, ils ne coûtent pas cher en légumes.
Néanmoins il leur faudrait quasiment un paquet de céréales (les chères, pas les leader price) par jour.
Et quand ils ont terminé les leurs, ils s'attaquent aux miennes. Ce qui fait qu'en gros, à partir du mercredi - jour où je me lève plus tôt que d'habitude parce que la prison a les horaires de la maison de retraite, et pas de l'école ; et que donc, faut pas m'emmerder ce matin là précisément - quand je me saisis du paquet, ben il est vide ... (oui, parce que pensant dissimuler leur forfait, ou par pure fainéantise ? j'hésite ... ils laissent le paquet vide dans le placard, comme la bouteille de lait dans le frigo, et tout ça).
Les chiens !
Aujourd'hui, sûrement à cause de l'âge de la maturité (cf post précédent), et très certainement poussée par le climat hormonal qui va avec (lequel n'est pas toujours bien bon conseiller je l'admets ...) j'ai décidé d'être réactive.
J'ai donc scotché ce mot sur le paquet :
" Mon fils (oui, ça peut être n'importe lequel de ces deux petits crevards)
Si tu as l'intention de prélever sur ce paquet plus que la portion réglementaire de 40 g (notez comme je laisse bien la porte entrouverte : ils PEUVENT se servir ; la négociation avec l'adolescent XY est un art subtil ...) n'y songe même pas !
Malgré tout l'amour que je te porte (toujours rassurer l'enfant), tu touches ce paquet = tu es un homme mort (mais s'affirmer avec fermeté).
Autrement dit : si tu bouffes mes céréales Jordan qui coûtent un bras, moi je te pile !
Allez, bonne journée mon grand (ça c'est pour bien ménager l'estime de soi)."
barbara - mes hommes
envoyé par bisonravi1987. - Clip, interview et concert.
Je ne sais pas si je viens de Vénus, mais eux, il viennent VRAIMENT de Mars.
Du reste, on voit bien qu'ils n'ont atterri qu'hier : il leur est totalement impossible de repérer la touche on/off du lave-vaisselle !
Quant au panier de linge sale, alors là, c'est l'arche perdue, et les candidats aventuriers ne se bousculent pas pour la retrouver.
Avec ça, mieux vaut les avoir en photo qu'à table.
Certes, ils ne coûtent pas cher en légumes.
Néanmoins il leur faudrait quasiment un paquet de céréales (les chères, pas les leader price) par jour.
Et quand ils ont terminé les leurs, ils s'attaquent aux miennes. Ce qui fait qu'en gros, à partir du mercredi - jour où je me lève plus tôt que d'habitude parce que la prison a les horaires de la maison de retraite, et pas de l'école ; et que donc, faut pas m'emmerder ce matin là précisément - quand je me saisis du paquet, ben il est vide ... (oui, parce que pensant dissimuler leur forfait, ou par pure fainéantise ? j'hésite ... ils laissent le paquet vide dans le placard, comme la bouteille de lait dans le frigo, et tout ça).
Les chiens !
Aujourd'hui, sûrement à cause de l'âge de la maturité (cf post précédent), et très certainement poussée par le climat hormonal qui va avec (lequel n'est pas toujours bien bon conseiller je l'admets ...) j'ai décidé d'être réactive.
J'ai donc scotché ce mot sur le paquet :
" Mon fils (oui, ça peut être n'importe lequel de ces deux petits crevards)
Si tu as l'intention de prélever sur ce paquet plus que la portion réglementaire de 40 g (notez comme je laisse bien la porte entrouverte : ils PEUVENT se servir ; la négociation avec l'adolescent XY est un art subtil ...) n'y songe même pas !
Malgré tout l'amour que je te porte (toujours rassurer l'enfant), tu touches ce paquet = tu es un homme mort (mais s'affirmer avec fermeté).
Autrement dit : si tu bouffes mes céréales Jordan qui coûtent un bras, moi je te pile !
Allez, bonne journée mon grand (ça c'est pour bien ménager l'estime de soi)."
barbara - mes hommes
envoyé par bisonravi1987. - Clip, interview et concert.
Deuxième mi-temps
Voilà
je viens de basculer de l'autre côté.
Même pas déprimée (contrairement à ce qu'elle m'avait dit).
Mais sûrement un rapport avec la séquence nostalgie d'hier.
J'ai bien vécu.
Pas fait tout ce que je voulais faire.
J'aborde la deuxième moitié dans cette idée.
Finir d'élever mes enfants.
Aller aux États-Unis, à Venise, et voir des îles du Pacifique (à cause du nom).
Mais voyager accompagnée.
Chanter jusqu'à mon dernier souffle.
Refuser d'être malheureuse.
Aimer.
Ah oui,
aussi,
j'allais oublier :
prendre ma retraite à 60 ans !
Évidemment.
L'image vient de chez lui : Alain Bouthier
je viens de basculer de l'autre côté.
Même pas déprimée (contrairement à ce qu'elle m'avait dit).
Mais sûrement un rapport avec la séquence nostalgie d'hier.
J'ai bien vécu.
Pas fait tout ce que je voulais faire.
J'aborde la deuxième moitié dans cette idée.
Finir d'élever mes enfants.
Aller aux États-Unis, à Venise, et voir des îles du Pacifique (à cause du nom).
Mais voyager accompagnée.
Chanter jusqu'à mon dernier souffle.
Refuser d'être malheureuse.
Aimer.
Ah oui,
aussi,
j'allais oublier :
prendre ma retraite à 60 ans !
Évidemment.
L'image vient de chez lui : Alain Bouthier
vendredi 22 octobre 2010
Fils du Glaoui, et tous les autres ...
GENERIQUE : NANS LE BERGER
envoyé par artemis181. - Regardez des web séries et des films.
GENERIQUE : ARDECHOIS COEUR FIDELE
envoyé par artemis181. - Regardez plus de films, séries et bandes annonces.
sylvie vartan 1972 "générique graine d'ortie"
envoyé par eimmit. - Regardez d'autres vidéos de musique.
GENERIQUE : LA PORTEUSE DE PAIN
envoyé par artemis181. - Court métrage, documentaire et bande annonce.
belle et sébastien
envoyé par fandor91. - Regardez plus de films, séries et bandes annonces.
Sebastien parmi les hommes - Generique
envoyé par Kichlo. - Regardez plus de films, séries et bandes annonces.
Sébastien et la Mary Morgane
envoyé par thiarmen. - Court métrage, documentaire et bande annonce.
Thierry La Fronde
envoyé par GREG1205. - Regardez plus de clips, en HD !
17 ans
Mon Nicolas,
Chaque année, pour ton anniversaire, je me souviens du grand bonheur qu'a été ta naissance. Un des ces bonheurs qui lient un couple à tout jamais, et en effet, même si nous sommes séparés, ton père et moi, tu témoignes de ce que nous nous sommes aimés.
C'est une chose qui, heureusement, ne peut pas s'effacer. Et, de cette naissance, j'ai toujours été reconnaissante envers ton père.
Chaque année aussi je suis un peu plus fière de toi, comme tu te prépares à devenir un homme, bien que ce ne soit pas toujours sereinement. Toutes ces émotions contradictoires qui s'agitent en toi sont normales : elles sont les signes qui balisent ton chemin.
Les moments de conflits, trop violents pour moi bien souvent, je n'y étais pas préparée. C'est que, comme toutes les mères, je m'inquiète pour toi. Je me demande toujours si nous avons fait tout ce qu'il fallait pour te préparer à agir et à décider seul. Bref, pour que tu deviennes autonome et responsable, les deux choses les plus importantes -après l'amour- pour réussir sa vie.
Ce monde est dur parfois, et pour y être heureux, il faut pouvoir s'y tenir droit.
C'est encore mieux quand on peut tenir la main de quelqu'un. Tant que nous serons là, tu pourras compter sur nous. Pour t'aider, et aussi pour te rappeler les choses qui comptent vraiment, et qui n'ont rien à voir avec l'argent et ce qu'il permet d'acheter.
Oui je sais, ça t'emmerde...
J'assume.
A ce propos, n'oublie pas l'auto-école, si tu veux pouvoir profiter de ton permis dès le jour de tes dix-huit ans. C'est au moins aussi important que le droit de vote.
Bon anniversaire.
Je t'aime.
jeudi 21 octobre 2010
mercredi 20 octobre 2010
Quand ça craint
L'arrogance, la suffisance, la morgue et le mépris de ce gouvernement n'ont d'égal que la crainte qui règne dans notre pays.
La crainte de l'autre.
La hantise du chômage.
La peur de manquer.
Ce climat d'insécurité permanente est soigneusement entretenu par les médias.
Que les Français protestent, que les échéances électorales se rapprochent, que le prix des carburants atteigne des sommets, ou que les "affaires" rappellent à tous que de l'argent, en France, oui, il y en a, invariablement, c'est le même chiffon rouge qui s'agite : celui de l'insécurité. Émeutes filmées fort à propos en gare du nord, petits gitans qui saccagent un village du Loir et Cher (après la mort de l'un d'entre eux), casseurs pendant une manifestation à Lyon, bref, la promesse du chaos.
Hier, dans la manif, un type du NPA distribuait des tracts pour tenter de convaincre la foule qu'il faudrait s'investir dans une réédition de mai 68. Et là, je trouve qu'on n'est pas au top de la force de conviction. Vu que, après une petite pénurie d'essence, et quelques pavés, les élections qui avaient suivi s'étaient soldées par un raz-de-marée en faveur de la droite, moi je dis : prudence.
Faire tout péter, ce serait justement donner raison à ce gouvernement dont la principale préoccupation reste quand même de voler aux pauvres pour ne rien faire perdre aux riches.
Il n'y a qu'à voir comme le Brice Hortefeu (= celui qui combat le feu / hameau exposé aux incendies ... il y a beaucoup à lire dans les noms) a repris du poil de la bête depuis qu'il peut montrer quelle maîtrise il a face aux blocus des dépôts de carburant.
Enfin bref
là tout de suite
j'ai pas d'idée hyper opérationnelle.
Mais pour que les choses changent, je sais bien ce qu'il faudrait faire : il faudrait coopérer. Redécouvrir l'altérité dans le respect des différences, des opinions, et coopérer.
A tous les niveaux : dans nos classes, dans nos écoles, dans nos villes, et dans nos campagnes aussi, et entre les nations.
C'est pas gagné.
Mais, chaque fois qu'on coopère, vraiment, qu'on s'affirme pour ce qu'on est, sans empiéter sur la liberté de l'autre, on a plus de chance de franchir les obstacles.
Sinon,
ça craint.
J'ai choisi cet extrait
parce qu'il y a quelques jours
Valéry Giscard d'Estaing a dit qu'il ne regrettait absolument pas de n'avoir pas gracié Christian Ranucci (le pull over-rouge).
Il a dit "à l'époque, toutes les pièces du dossier montraient qu'il était coupable." Sauf qu'aujourd'hui, plein de pièces du dossier tendraient à prouver le contraire
et que
cette décision,
elle avait été concomitante à l'affaire Patrick Henry.
La France avait peur,
et voici ce que la peur provoque : au mieux le rejet, au pire la violence et la mort.
Et puis là
j'ai mis deux extraits d'un film que j'adore
et que tout le monde devrait pouvoir voir.
Les gars du chalutiers sont tous malades -à mourir- parce qu'ils ont mangé du jambon mal conservé.
ce qui les sauve, c'est déjà le marin arabe, musulman, qui n'a pas mangé de porc, en dépit des moqueries des autres (qui l'appellent "le crouillard").
Il va gérer le navire en attendant les secours.
Et l'autre truc c'est extraordinaire chaîne de solidarité à travers le monde.
Pour ceusses qui diraient que c'est cucul la praline, ils pensent ce qu'ils veulent, ça ne me dérange pas.
Si tous les gars du monde
envoyé par glst81. - Court métrage, documentaire et bande annonce.
La crainte de l'autre.
La hantise du chômage.
La peur de manquer.
Ce climat d'insécurité permanente est soigneusement entretenu par les médias.
Que les Français protestent, que les échéances électorales se rapprochent, que le prix des carburants atteigne des sommets, ou que les "affaires" rappellent à tous que de l'argent, en France, oui, il y en a, invariablement, c'est le même chiffon rouge qui s'agite : celui de l'insécurité. Émeutes filmées fort à propos en gare du nord, petits gitans qui saccagent un village du Loir et Cher (après la mort de l'un d'entre eux), casseurs pendant une manifestation à Lyon, bref, la promesse du chaos.
Hier, dans la manif, un type du NPA distribuait des tracts pour tenter de convaincre la foule qu'il faudrait s'investir dans une réédition de mai 68. Et là, je trouve qu'on n'est pas au top de la force de conviction. Vu que, après une petite pénurie d'essence, et quelques pavés, les élections qui avaient suivi s'étaient soldées par un raz-de-marée en faveur de la droite, moi je dis : prudence.
Faire tout péter, ce serait justement donner raison à ce gouvernement dont la principale préoccupation reste quand même de voler aux pauvres pour ne rien faire perdre aux riches.
Il n'y a qu'à voir comme le Brice Hortefeu (= celui qui combat le feu / hameau exposé aux incendies ... il y a beaucoup à lire dans les noms) a repris du poil de la bête depuis qu'il peut montrer quelle maîtrise il a face aux blocus des dépôts de carburant.
Enfin bref
là tout de suite
j'ai pas d'idée hyper opérationnelle.
Mais pour que les choses changent, je sais bien ce qu'il faudrait faire : il faudrait coopérer. Redécouvrir l'altérité dans le respect des différences, des opinions, et coopérer.
A tous les niveaux : dans nos classes, dans nos écoles, dans nos villes, et dans nos campagnes aussi, et entre les nations.
C'est pas gagné.
Mais, chaque fois qu'on coopère, vraiment, qu'on s'affirme pour ce qu'on est, sans empiéter sur la liberté de l'autre, on a plus de chance de franchir les obstacles.
Sinon,
ça craint.
J'ai choisi cet extrait
parce qu'il y a quelques jours
Valéry Giscard d'Estaing a dit qu'il ne regrettait absolument pas de n'avoir pas gracié Christian Ranucci (le pull over-rouge).
Il a dit "à l'époque, toutes les pièces du dossier montraient qu'il était coupable." Sauf qu'aujourd'hui, plein de pièces du dossier tendraient à prouver le contraire
et que
cette décision,
elle avait été concomitante à l'affaire Patrick Henry.
La France avait peur,
et voici ce que la peur provoque : au mieux le rejet, au pire la violence et la mort.
Et puis là
j'ai mis deux extraits d'un film que j'adore
et que tout le monde devrait pouvoir voir.
Les gars du chalutiers sont tous malades -à mourir- parce qu'ils ont mangé du jambon mal conservé.
ce qui les sauve, c'est déjà le marin arabe, musulman, qui n'a pas mangé de porc, en dépit des moqueries des autres (qui l'appellent "le crouillard").
Il va gérer le navire en attendant les secours.
Et l'autre truc c'est extraordinaire chaîne de solidarité à travers le monde.
Pour ceusses qui diraient que c'est cucul la praline, ils pensent ce qu'ils veulent, ça ne me dérange pas.
Si tous les gars du monde
envoyé par glst81. - Court métrage, documentaire et bande annonce.
mardi 19 octobre 2010
Tombé du ciel
Suggéré par Jack.
A moins que ce ne soit la chanson qui m'ait suggéré le post précédent.
Sais pas.
Lexique
Tomber.
Tomber dans les pommes.
Tomber enceinte.
Tomber de haut.
Tomber des nues. Carrément.
Tomber sur lui (ça tombe bien).
Tomber pile poil. Tomber à pic.
Tomber du ciel, nez à nez avec lui.
Tomber une fille, un mec. Tomber dans ses bras.
Tomber en grâce.
Tomber amoureux. (Concept universel ? falling in love, tomber en amour...)
C'est un peu comme tomber malade.
Ou tomber sur la tête.
Ou tomber en enfance.
Ou tomber à la renverse, et même, les quatre fers en l'air : ça tombe sous le sens.
Enfin, tomber dans le péché, entre de bonnes mains : ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd !
Et voilà : tomber encore dans le panneau !
Et pourtant, pas tomber de la dernière pluie...
En léthargie ?
Les bras m'en tombent.
Tomber sur les nerfs.
Tomber sur un os.
Tomber à plat.
Tomber le masque.
La fièvre tombe, le jour aussi.
Tomber en disgrâce.
Tomber bien bas, mais du côté où l'on penche.
Tomber de Charybde en Scylla.
Tomber en ruines.
Tomber à l'eau. Couler à pic.
La plume m'en tombe des mains.
Tomber, non sombrer. Sombrer dans le ridicule.
Laisser tomber.
Tomber raide mort.
Puis tomber dans l'oubli, en poussière. Pfffft .
Aller à vau-l'eau.
Tomber en quenouille (un truc de fille).
Heureusement, il y a des chutes heureuses ...
Tomber dans les pommes.
Tomber enceinte.
Tomber de haut.
Tomber des nues. Carrément.
Tomber sur lui (ça tombe bien).
Tomber pile poil. Tomber à pic.
Tomber du ciel, nez à nez avec lui.
Tomber une fille, un mec. Tomber dans ses bras.
Tomber en grâce.
Tomber amoureux. (Concept universel ? falling in love, tomber en amour...)
C'est un peu comme tomber malade.
Ou tomber sur la tête.
Ou tomber en enfance.
Ou tomber à la renverse, et même, les quatre fers en l'air : ça tombe sous le sens.
Enfin, tomber dans le péché, entre de bonnes mains : ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd !
Et voilà : tomber encore dans le panneau !
Et pourtant, pas tomber de la dernière pluie...
En léthargie ?
Les bras m'en tombent.
Tomber sur les nerfs.
Tomber sur un os.
Tomber à plat.
Tomber le masque.
La fièvre tombe, le jour aussi.
Tomber en disgrâce.
Tomber bien bas, mais du côté où l'on penche.
Tomber de Charybde en Scylla.
Tomber en ruines.
Tomber à l'eau. Couler à pic.
La plume m'en tombe des mains.
Tomber, non sombrer. Sombrer dans le ridicule.
Laisser tomber.
Tomber raide mort.
Puis tomber dans l'oubli, en poussière. Pfffft .
Aller à vau-l'eau.
Tomber en quenouille (un truc de fille).
Heureusement, il y a des chutes heureuses ...
Communication non violente
Pour les non-fluent, je translate :
Au surveillant qui lui dit :
- Vous avez dépassé le temps, vous avez donc échoué à l'examen ! Désolé...
Le jeune répond :
- Excusez-moi, vous savez qui je suis ?
- Je n'en ai absolument aucune idée.
- Bien.
J'adore !
mercredi 13 octobre 2010
On n'est pas des lavettes
Lu dans la manif :
"67 ans ? et pourquoi pas 69 ? tant qu'à se faire baiser ..."
Musique : répertoire Chavannée (nous avons embarqué) / photo : Christophe Ruby du Snuipp 23
Nous avons travaillé x4
pour payer nos factures
enfants de la .....
enfants de la France qui gronde
Quand nous fûmes au turbin
les fins d'mois étaient dures
Dès le 15 du mois
On s'serrait la ceinture
On bouffait des cailloux
Ils vivaient dans les dorures
Cinq ans comme députés
Une retraite ils s'assurent
Mais aux banques aux assureurs
Ils nous livrent en pâture
Nous aurons cotisé
Bien plus que ces enflures
Mais on s'ra pas retraité
On sera mort d'usure
"67 ans ? et pourquoi pas 69 ? tant qu'à se faire baiser ..."
Musique : répertoire Chavannée (nous avons embarqué) / photo : Christophe Ruby du Snuipp 23
Nous avons travaillé x4
pour payer nos factures
enfants de la .....
enfants de la France qui gronde
Quand nous fûmes au turbin
les fins d'mois étaient dures
Dès le 15 du mois
On s'serrait la ceinture
On bouffait des cailloux
Ils vivaient dans les dorures
Cinq ans comme députés
Une retraite ils s'assurent
Mais aux banques aux assureurs
Ils nous livrent en pâture
Nous aurons cotisé
Bien plus que ces enflures
Mais on s'ra pas retraité
On sera mort d'usure
vendredi 8 octobre 2010
lundi 4 octobre 2010
Sortir en Creuse
Dimanche 10 octobre
Vent de galarne
(la Chavannée)
est en concert à
l'église de St-Loup (23)
à 16h00
et le
samedi 9 octobre
c'est moi
Coline
qui chante dans l'église
à 17h00
samedi 2 octobre 2010
ça remet le facteur sur le vélo
- Nager seule dans la piscine municipale aux aurores, se laver nue dans la douche, et se tartiner d'un truc Lush qui sent la fille
- Brailler à tue-tête dans une manif bien dense, voir qu'on n'est pas seul
- Rassembler le neurone qui me reste le vendredi soir pour aider mon fils à faire son devoir maison, tout en préparant un marbré, à la farine bio, et au sucre roux (une tuerie)
- Boire un thé "Pretty woman" en rentrant
- Parler au téléphone avec mon fils aîné, et se dire de vraies choses
- Acheter les premiers bredele et de la brioche au streusel et à la cannelle à Christophe Müller (j'aime bien que le boulanger s'appelle meunier), le boulanger bio du marché
- Écouter
- Aller au bal, ce soir, à Faux-la-Montagne, voir Hilly
- Dormir tôt, se lever à l'aube, avoir le temps de finir les trucs en retard
- Revoir mes anciens élèves sur le marché, faire la bise à leurs parents
- Jouer Coccinelle, de Jean Blanchard -le dieu de la cornemuse- sur ma vielle en ré
- Préparer des ateliers de chants de Noël pour le marché de Guéret
- Brailler à tue-tête dans une manif bien dense, voir qu'on n'est pas seul
- Rassembler le neurone qui me reste le vendredi soir pour aider mon fils à faire son devoir maison, tout en préparant un marbré, à la farine bio, et au sucre roux (une tuerie)
- Boire un thé "Pretty woman" en rentrant
- Parler au téléphone avec mon fils aîné, et se dire de vraies choses
- Acheter les premiers bredele et de la brioche au streusel et à la cannelle à Christophe Müller (j'aime bien que le boulanger s'appelle meunier), le boulanger bio du marché
- Écouter
- Aller au bal, ce soir, à Faux-la-Montagne, voir Hilly
- Dormir tôt, se lever à l'aube, avoir le temps de finir les trucs en retard
- Revoir mes anciens élèves sur le marché, faire la bise à leurs parents
- Jouer Coccinelle, de Jean Blanchard -le dieu de la cornemuse- sur ma vielle en ré
- Préparer des ateliers de chants de Noël pour le marché de Guéret