Mon camp de base est désormais la Bretagne des bois.
Dans le Bourbonnais je m'étais réparée.
Ici je veux m'épanouir.
Ce n'est pas toujours facile.
Allées et venues du quotidien de Madame Nicole en pays Pourlet.
dimanche 5 août 2012
Manger
Déjeuner pélerin
La pèlerine ne se laisse ni abattre
ni entraîner chez Intermarché pour acheter de la daube ...
@Geneviève :la plupart du temps oui les gîtes jacquaires sont bien équipés, en ce sens qu'il y a souvent un fond : huile, vinaigre, sel, etc. Les gîtes municipaux et privés parfois non. Perso, il m'arrive de taper un voisin (pas trop proche du gîte, ils sont sollicités dans arrêt...) pour un fond d'huile, un morceau de beurre ou une pincée de sel (je propose toujours de payer 1 ou 2 euros, c'est normal) mais en général ce n'est pas la peine. Vive la vache qui rit dans les nouilles, et vivent aussi les deux sachets de soupe instantanée et les six sachets de thé trimballée dans mon sac, qui finissent toujours par servir. Attention, en Espagne ça semble beaucoup plus compliqué de se faire à manger...
le plus souvent quand même le soir je me cuisine un truc : pâtes aux légumes ou salade tomate-concombre avec une boîte de moules ou de poulpe à l'escabèche... il y a aussi la recette spéciale de Noëlle : boîte de petit salé aux lentilles + coquillettes. le top, c'est de co-cooker avec d'autres pèlerins, c'est festif et on n'est pas obligé de finir la gamelle
bien mieux!
RépondreSupprimerEst ce que le soir tu peux te faire à manger (chaud ?) dans les gîtes pélerins ?
RépondreSupprimer@Geneviève :la plupart du temps oui
RépondreSupprimerles gîtes jacquaires sont bien équipés,
en ce sens qu'il y a souvent un fond : huile, vinaigre, sel, etc.
Les gîtes municipaux et privés parfois non.
Perso, il m'arrive de taper un voisin (pas trop proche du gîte, ils sont sollicités dans arrêt...) pour un fond d'huile, un morceau de beurre ou une pincée de sel (je propose toujours de payer 1 ou 2 euros, c'est normal)
mais en général ce n'est pas la peine.
Vive la vache qui rit dans les nouilles,
et vivent aussi les deux sachets de soupe instantanée et les six sachets de thé trimballée dans mon sac, qui finissent toujours par servir.
Attention, en Espagne ça semble beaucoup plus compliqué de se faire à manger...
ok ! toi aussi la vache qui rit dans les nouilles ... dur dur de voir qu'on est pas précurseur :) ;)
RépondreSupprimery'a aussi la purée mousseline mélangée à de la soupe en sachet : ça donne du gout !
:)
le plus souvent quand même
RépondreSupprimerle soir
je me cuisine un truc : pâtes aux légumes ou salade tomate-concombre avec une boîte de moules ou de poulpe à l'escabèche...
il y a aussi la recette spéciale de Noëlle : boîte de petit salé aux lentilles + coquillettes.
le top, c'est de co-cooker avec d'autres pèlerins, c'est festif et on n'est pas obligé de finir la gamelle