vendredi 13 décembre 2013

Le plus beau métier du monde

J'aime quand ils m'écrivent pour me donner de leurs nouvelles.
Encore plus quand j'ai eu une rude journée.


Un petit Portugais arrivé en cours d'année dernière,
qui écrivait comme un goret,
vu que ses doigts n'arrivaient pas à suivre le rythme de ses pensées,
à peine 3 heures de cours hebdomadaires.
Moi je dis, chapeau bas...
Et merci.

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