Voilà, après tout ce temps, il me reste un peu moins de 100 km...
(notez que les Galiciens adorent les bergers allemands, il y en a partout...)
Ici commence le parcours de ceux qui savent qu'il suffit d'avoir fait ces 100 derniers km à pieds
pour recevoir la Compostela.
Chaussures et équipements flambants neufs (et propres),
transport de nounours et divers trucs inutiles,
gros réflex en bandoulière,
des troupes d'Italiens et d'Allemands surgissent de nulle part...
Pour les autres, ce ne sont pas de vrais pèlerins,
et on voit qu'ils ne sont pas habitués au fonctionnment des albergues.
Mais moi, j'aime bien ce côté initiatique,
cette grand-mère allemande avec ses deux petits-fils,
ou ce papa espagnol avec sa fille de neuf ans,
qui découvre la vie de pèlerine.
j'aime la borne
RépondreSupprimeret les bergers allemeands
courage ma belle, tu vois le bout !
RépondreSupprimerEt puis, ce n'est pas si grave si tu décides de terminer plus tard... ne vas pas te démolir la santé pour autant...
Allez, je chemine près de toi, bises
Ca m'avait agacée dans un premier temps ce monde à partir de Sarria... J'ai décalé mes dernières étapes de quelques Kms chaque fois pour ne pas être "dans le flot" et puis finalement, ce n'est pas si grave, chacun fait son chemin à sa façon et, arrivée au bout ou presque, on est plus philosophe ou plus tolérant et ça ne m'a plus dérangée.
RépondreSupprimerCOURAGE, prends soin de tes petits petons et de ton moral.
Tu sais quel est le code anti spam ? continue coIdinte
RépondreSupprimerDes nouvelles Coline ?
RépondreSupprimerCe qui est rigolo, c'est leur manière de faire,
RépondreSupprimeret l'ambiance plus touristes,
avec les grosses erreurs de débutants,
qui partent en courant, chargés à bloc sur 30 bornes,
et aui ne peuvent plus arquer les jours suivants...
Mais je suis d'accord, chacun fait ce qu'il veut, on n'a pas à juger (sauf bien sûr le coup du séchoir à 5h30... mais je crois que le choc du dodo collectif a été trop rude et que maintenant ils s'arrêtent dans des hôtels...)