samedi 30 mai 2015

Sauvages, tatoués et poilus : les tambours du Bronx



Concert copines hier soir.
Un peu soirée d'adieu aussi.
Tambours du Bronx.
Mini stress : celle qui a les billets est coincée dans un train très en retard.
Mais concert en Creuse, donc fin heureuse : on est entrées...






Bon
moi j'aime ce côté vibratoire exalté,
qui engage le corps dans une sorte de transe,
parce que j'aime les percu en général.
Le mouvement des corps,
en partie chorégraphié,
mais aussi induit par la seule frappe.














Les tatouages prennent vie,
ouvrent des bouches sur le torse,
déploient des dragons dans le dos.
Quand les têtes se penchent,
la sueur forme un halo de milliers de gouttelettes,
on se laisse emporter par les cellules rythmiques superposées.




Après,
j'aime moins les hurlements de hard métal, et le fond sonore électro sur certains morceaux,
qui prend presque le pas sur le reste.
Pis la réaction de certains spectateurs prêts à tout et n'importe quoi pour récupérer un (voire plus) des bouts de bois tourné qu'ils lancent à la fin.
Bon, moi, ça risque pas que je collectionne les bâtons au moment de faire ma valise...

Sinon, la moyenne d'âge,
sur scène
est très, très encourageante :
légèrement supérieure à la mienne je dirais..
(là, on voit les trois jeunes...)



 Edit : première sortie officielle de l'appareil photo de mon téléphone de riche. Je l'ai pas encore bien en mains on va dire. 

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