et s'y blesse inutilement un ego tellement démesuré qu'il prend tout pour lui,
même ce qui ne le concerne pas.
Il y a une personne qui se comporte comme tous les maltraitants : mépris, distorsion de la vérité,
paroles agressives en public. Se sentir provoqué lui donnerait tous les droits.
Les cadjins disent : un serpent qui file entre les herbes.
Il y a une personne qui sait que je sais, et hait ce que je suis.
A cette personne je dirai juste : ta colère ne me concerne pas, tes paroles empoisonnées ravale-les.
Je ne t'autorise pas à me juger.
D'ailleurs je ne suis rien, oublie moi.
Au bout du chemin,
souviens-toi que tu auras eu, comme nous tous,
365 jours par an pour changer quelque chose.
Conja !
Bravo Nicole,
RépondreSupprimerC'est ainsi: accorder, donner à la malveillance le pouvoir de tourner à vide!!
Non mais non!!
Des bises