mercredi 30 novembre 2016

Douceur farouche

Je vas profiter que mon beau a pris l'aéroplane ce matin,
et qu'asteure il doit être au ras de l'autre bord,
pour dire à vous autres combien il est doux de faire connaissance avec un galant.
Surtout çui la qui me fait sortir de ma zone de confort, pour m'emmener faire des trucs improbables, dont j'avais pas idée en débarquant ici.
Après la pirogue donc,


Oui, le cheval.
À 56 ans.
Bon OK avec une vaillante jument bien tranquille, un de ces petits chevaux américains pas trop hauts.
Un grand tour en forêt plus tard, j'ai bien envie de recommencer.
Mais il va falloir espérer que son maître revienne back... pour s'endormir dans des bras accueillants aussi.
Je suis souvent après jongler à quoi je vas faire l'an prochain.
Rentrer comme prévu ou rester ?
La vie française me manque beaucoup, mais elle me paraîtra bien fade sans le cajun seasoning de la vie farouche dans les ciprières.


4 commentaires:

  1. pose les armes
    laisse reposer (je crois que tu sais faire désormais)

    et le choix s'imposera à toi naturellement

    ps le cheval c'est trop ♥
    (même si -snif-je pourrai jamais plus)

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  2. Parfois les choses finissent pas se démêler d'elles-mêmes, il suffit de se laisser porter (mais ça, je sais que tu sais faire…).
    Je t'embrasse.

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  3. Pas facile... mais tu sauras démêler toute c't'affaire... on en est sûrs :-) Allez hue !!!
    GROS BECS

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  4. profite bien de ton week end
    des bisous

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