Je vous en ai déjà parlé.
La sérendipité.
Les hasards heureux.
Il y a quelques semaines, j'ai appris l'ouverture de ce fitness center, à 45 minutes de chez moi.
Un peu loin, mais bien moins que le reste.
Avec ça.
Et je m'étais dit,
au moins si mon transfert est refusé, je n'aurais plus ce gros manque de piscine (surtout que maintenant je peux y ajouter la zumba...)
Aujourd'hui j'ai appris que non, pas de transfert.
Rien de personnel.
Juste deux replacements de collègues sur des postes plus appropriés.
Et pour le reste, niet.
Vous allez rire, j'ai pensé : je vais continuer à ouvrir chaque matin ma porte sur le jour rose qui se lève au-delà de l'eau, à ride mon bicycle, pas besoin de déménager, de m'habituer à une autre école, de refaire tous mes cours... je vais voir encore grandir mes élèves de cette année...
Alors non, définitivement je n'irai pas à Lafayette.
il n'y aura pas de recherches à la fac, de danse le mercredi, un peu plus de nuits dans ses bras...
il faut tourner la page de ce désir là,
et écrire une toute autre histoire.
Jouer avec les cartes qu'on a.
Mais je viens de lire une phrase -et cette fois je suis sûre qu'elle est de Khalil Gibran :
"Restez l'un avec l'autre, mais pas trop près l'un de l'autre : car les piliers du temple sont éloignés entre eux".
Juste espérer qu'il me visitera plus souvent, avant que je ne me lasse...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAllez, on relance les cartes et on rejoue :-)
RépondreSupprimerGROS BECS
"Jouer avec les cartes qu'on a"
RépondreSupprimerbravo
pour le verre à moitié plein donc aussi