C'est ma manière à moi de tenir le coup.
Pendant l'heure de sortie quotidienne autorisée,
indispensable pour soigner ma sciatique sans kiné et sans anti-inflammatoires,
j'enregistre une chanson.
Celle qui me vient.
Une seule prise, avec mon téléphone, dans un endroit qui m'inspire.
Et je repars.
Bal des bois, bal de balcon, bal de maison...
Un autre musicien, Arnaud Bibonne, a commencé à prendre exemple sur les Italiens.
J'ai trouvé que c'est une bonne idée.
D'ici quelques jours, les réseaux seront inondés de précieuses contributions musicales.
Asteure, la mienne me fait comme un rendez-vous avec moi-même et avec les autres...
👏👏👏
RépondreSupprimerBravo !
Je regarde de temps en temps votre blog surtout pour vos voyages à Compostelle, et là, j'admire votre chant !
En quelle langue ?
Bonne continuation de confinement,
Thérèse
Très belle voix, Mme Nicole, je suis admirative ! Ça fait longtemps que je n'étais pas venue et je vois que beaucoup de choses se sont passées, l'essentiel étant que tu continues à cheminer, au propre comme au figuré...
RépondreSupprimerMerci, je pensais me tenir à un rythme quotidien, et plus ou moins j'y arrive, mais finalement j'ai un tas de choses à faire aussi (comme aller aux fraises pour l'Education nationale), et je ne m'occupe toujours pas de ce blog autant que je le voudrais...
RépondreSupprimer@Thérèse C'est de l'italien. Si vous venez pour le chemin, alors ça va me faire un surplus de motivation pour retracer celui du Portugal...
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