J'écris, nous marchons.
J'écris, nous nageons.
J'écris, nous dansons.
J'écris, nous nageons.
J'écris, nous dansons.
Depuis mon retour du stage Déclic, j'écris comme si ma vie en dépendait. Du reste, ma vie en dépend.
J'ai dû m'aménager des solutions pour contourner le "Qu'est-ce qu'on mange ?" à 11.45 à travers le garde-corps de la mezzanine.
Un espace de coworking à Quimperlé, les jours où je vais à la piscine là-bas.
Récupération d'un secrétaire, déménagé dans une pièce... vide.
Ecrire, plus que jamais, porte fermée.
Et ne la rouvrir que quand j'ai fini.
♥
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