samedi 4 août 2018

Accepter ce qu'on ne peut pas changer...

C'est une énorme déception.
Il est clair désormais qu'il soit impossible que je satisfasse jamais à cette nouvelle disposition : pour les carrières longues, on ne compte que les trimestres cotisés.
Pas d'échappatoire, pas de recours.
C'est mort, un point c'est tout.
Alors j'ai demandé : ok, quelle sera la décôte si je pars à 60 ans ?
Pas de décôte.  Retraite à taux plein.
Mais à 62 ans.
Il ne m'aura pas fallu longtemps pour prendre ma décision : c'est de toute façon mon avant dernière année.
Après je prendrai 2 ans de dispo.
Sans traitement.
J'ai compté, j'ai juste assez d'économies.
Si le bon Dieu me laisse aller jusque là, non c'est pas cher payé pour la liberté.




5 commentaires:

  1. décision prise
    et pas de regrets

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Non au contraire. Tu ne peux pas savoir le poids que ça m'a enlevé, cette sensation d'étouffement, Le couteau sur la gorge, a me dire "non, mais c'est pas possible, encore 4 ans"...

      Supprimer
  2. @nous sommes bien d'accord !
    bisous

    RépondreSupprimer
  3. Ah ah, j'avais loupé ce post, je comprends mieux le suivant :-)

    Mais qu'est-ce que ça fait du bien de se libérer de ses liens !!! Boulot, maison, zouh. On dégage ! Qu'est-ce que j'aimerais ....

    RépondreSupprimer