samedi 16 juillet 2016

Une minute de silence contre des heures de danse

Hier matin, on a découvert l'horreur.
Moi, je refuse de regarder les images ou d'écouter la litanie des médias.
La semaine dernière, à Paris, j'avais bien remarqué que quelque chose à profondément changé depuis mon dernier voyage à Noël
Des forces armées partout.






(je vous les montre pas, j'explique pas pourquoi)

C'est comme une guerre qui tairait son nom.
C'est pour nous protéger, mais en même temps ça accroît le sentiment d'insécurité et d'impuissance.
Car jamais on ne pourra empêcher quelqu'un de se faire sauter au milieu d'une foule.
On le sait.
Il nous faut vivre avec.
Et comme a dit Maxou Heintzen, en ouvrant les concerts hier soir, plutôt qu'une minute de silence, on va faire des heures de musique et de danse pour rendre hommage aux victimes.






2 commentaires:

Barbara a dit…

merci pour ces magnifiques photos
et oui la meilleure réponse à donner
!

je (nous) trions aussi beaucoup
sans doute aussi par protection

même si beaucoup d'émotion
sonnée et peinée


perso j'ai le même ressenti même si je comprends bien que plus de sécurité (peut) s'imposer j'ai du mal au contraire avec des forces armées partout je trouve ça plus anxiogène que rassurant

Marité a dit…

Une belle façon de montrer qu'on est vivants !
GROS BECS