À
Kostroma
Il
y a le couvent de l'Épiphanie, avec l'icône miraculeuse de
Théodore, et celle de la Sainte Vierge Feodorsakaï, qui aurait aidé
Alexandre Nevski à sauver la ville, et servi au baptême de Michel
Romanov.
À
Kostroma,
il y a un malentendu qui s'appelle le musée Romanov.
Dans les guides il est écrit qu'on s'attache à la famille en le visitant.
Dans les faits j'ai bien perdu mon temps : il a été ouvert en 1913 par Nicolas II, mais il n'y a rien ici sur la famille.
Dans les guides il est écrit qu'on s'attache à la famille en le visitant.
Dans les faits j'ai bien perdu mon temps : il a été ouvert en 1913 par Nicolas II, mais il n'y a rien ici sur la famille.
J'ai quand même bien aimé le Dante d'Ilia Répine
et d'autres tableaux,
mais j'ai
surtout été touchée par les adieux de ce cosaque à sa femme.
À
Kostroma,
il y a bien sûr une statue de Lénine, parce qu'il y en a
toujours une...(mais là il a le bras long, et l'autre main dans la
poche)
Et des héros, parce que chaque ville a le sien :
ici le chien pompier
Bobka, qui vivait dans la caserne des pompiers,
et surtout, Ivan
Soussanine !
La Russie adore les héros.
À Kostroma,
il y a une place ceinte de ces arcades de commerces qu'on
voit un peu dans chaque ville de la région.
Elles venues généralement remplacer les échoppes de bois.
Elles venues généralement remplacer les échoppes de bois.
À
Kostroma, avant toute chose,
il y a la grande et belle Volga bien sûr, qui a bercé, toute la nuit, ma petite chambre dans cet hôtel barge.
En
préparant mon voyage, je n'avais pas réalisé que mon anniversaire
tombait à ce moment.
Bilan : bien que les bougies coûtent désormais plus cher que le gâteau, je me lève joyeusement et sans douleur chaque matin ; mes jambes peuvent encore arpenter le monde.
Je mesure ma chance.
Bilan : bien que les bougies coûtent désormais plus cher que le gâteau, je me lève joyeusement et sans douleur chaque matin ; mes jambes peuvent encore arpenter le monde.
Je mesure ma chance.
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