C'est le sang de la terre
qui respire
le désir
qui corrige nos erreurs
et apaise nos terreurs.
Des points de soie
brodés sur le brocard mouillé
d'un printemps pathétique.
Des milliers de sourires
qui s'envolent et s'inclinent
courbent l'échine
dans le vent mauvais
puis se redressent prêts à s'envoler
caressent la crête des blés levés
regardent au loin si l'herbe est plus verte
et restent là jusqu'à l'été.
6 commentaires:
Jolies photos...
je vois pareil par ici, juste de l'autre côté de la route
magnifique
le texte les photos
les idées
Et moi j'ai vu presque pareil il y a quelques jours et j'ai pensé à toi qui avait déjà dit que ça te plaisait beaucoup :)
y a que moi qui vois un deuxième message implicite ou?
bonne semaine ☼
heu non
pas de message implicite
ou alors totalement à l'insu de mon plein gré
ben tu vois j'avais vu une métaphore des élections législatives et espoirs qui renaissent
comme quoi !!
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