lundi 5 août 2013

Pauses carton

Marcher, sur les chemins au bout de ma rue.
Coudre, avant de ranger la machine jusqu'au déménagement.
Nager, dans les eaux douces des lacs environnants.

Et descendre à pied au cinéma.

Aujourd'hui
Édit du 6 août
Bon film, tension haletante : double lieu, temps unique, les quatre mois en parallèle de marins pris en otage dans l'océan indien, et de leur patron au Danemark, qui négocie.
Pas de sous-titres quand les pirates parlent, border line permanent, canons sur la nuque, on comprend que le cuistot mis bien malgré lui aux premières loges se liquéfie peu à peu.
Je n'en dis pas plus si vous voulez le voir,
mais c'était un bon moment de ciné (pas rigolo, rigolo non plus...)

Demain

Édit du 7 août :  j'ai finalement choisi le deuxième. Fatal error, dans le premier au moins, il y aurait eu du soleil.
J'ai rien compris - surtout la fin qui m'a laissée sur ma faim - et je crois pas que c'est parce que c'était du chinois, vu qu'il n'y avait pas de dialogue.
En revanche, on voit bien bien la Chine (cherchez pas de contrepèterie, y en n'a pas), miséreuse, glauque et urbainement surpeuplée : les maisons tapissées de papier journal, les apparts de 2 x 2 mètres, les mines illégales où se perpètre un meurtre par jour (là encore, j'ai pas compris pourquoi...omerta ou ellipses trop fréquentes ?).
Bref, morbide, imbitable et loooooong, mais on en profite pour voyager par cher en Asie.

En septembre

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