Les dix derniers kilomètres
je les ai fait en bus
avec mes compagnons italiens
(mais on peut prendre une variante du chemin, juste avant Vilafria, qui longe la rivière, et permet apparemment d'arriver plus joliment en ville qu'en s'appuyant 10 km de zone commerciale - Coût : 3 kilomètres de plus )
Visite de la cathédrale
une choucroute irrémédiablement baroque
(visite obligatoirement payante
tarif réduit pour les pèlerins)
Retour à des considérations plus bassement matérielles :
je m'écarte significativement des restaurants devant la cathédrale,
bourrés de touristes qui mangent la même salade en plastique qu'ont trouve dans toute l'Europe.
Les bars à tapas, je les choisis avec que des Espagnols dedans.
C'est comme ça que j'ai atterri là (calle de San Lorenzo) :
où j'ai testé le poulpe et les anchois
mes tapas préférés,
(guide de survie : une bière = una cerveza / une pression = una caña).
Je n'ai pas été déçue.
Là (calle de Lain Calvo) les glaces ne sont pas à tomber,
mais leurs garnitures oui...
Je croise des pèlerins qui m'expliquent que l'albergue municipal est sublime,
mais je choisis de repartir immédiatement et,
à 16h00
je reprends le car, sans trop savoir où je vais...
1 commentaire:
merci
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