Qu'il est doux de marcher dans la pénombre
et de se retourner pour voir le soleil se lever.
Après une nouvelle étape de 21 km,
du pipi de chat à côté du calvaire d'hier,
me voilà arrivée à Santo Domingo de la Calzada.
Pas d'auberge municipale
mais un accueil de confrérie,
et apparemment, la concurrence est rude avec l´hôtel des soeurs cisterciennes
(chambres de 2, avec chacune une douche, un luxe à 5 euros).
J'opte finalement pour la confrérie, qui a de bons arguments aussi ...
et où, surtout
il y a moins de compatriotes
le pélerin français pouvant se révéler aussi laxatif que stressant
(je dis pas ça pour vous Aline et Noëlle, hein, vous c'est pas pareil...).
(je dis pas ça pour vous Aline et Noëlle, hein, vous c'est pas pareil...).
Je commence l'après-midi à l'heure espagnole,
en déjeunant avec Cipriano (je suis pas trop sûre de l'orthographe...)
de morue et patates à la riojana.
de morue et patates à la riojana.
Je ne supporte plus les frites
(d'où l'intérêt de parler espagnol, pour ne pas comer todo los dias de la mierda...)
Pardonne-moi Enrique, je t'ai déjà oublié... ¡ Olé !
* Allons-y avec courage (traduction especial pour Anne...)
3 commentaires:
chouette !
merci
ps encore plus pour moi la traduction Anne parle qq mots moi aucun!
Ca donne envie de se lever à l'aube...
(on le dit tous les jours, parce qu'ici, dans les Alpes, il fait beau le matin, et c'est orageux en fin d'aprem en ce moment, mais on se couche trop tard...........)
hi hi hi merci Coline ! c'est fou les progrès que je fais en espagnol !!! raison de plus de passer par ici chaque jour ...
gracias
Enregistrer un commentaire