Les auberges se suivent
et ne se ressemblent pas.
Hier, à Cacabelos
des boxes adossés au mur d'enceinte de l'église.
Le luxe : des lits pas superposés,
et une étoile supplémentaire pour n'avoir pas eu à partager...
Ce soir,
cusine très bien équipée
feu de cheminée et salon télé,
dans une auberge municipale elle aussi...
J'en ai un peu marre des menus pèlerins,
on se fait une pasta party,
mais sans Choi, le Coréen (celui qui s'est trompé d'étape...).
La nourriture de son pays commence à sacrément lui manquer,
et il ne supporte plus le pain.
Mais il n'a pas le choix,
il a 67 ans, et les hommes de sa génération n'ont aucune idée de la manière même dont on fait cuire du riz...
Heureusement, ce soir il a trouvé, dans le "supermercado" de Carmen ( 5 mètres carrés...)
des nouilles coréennes,
des vraies,
juste à réhydrater.
Je crois que, dans une autre vie, je vendrai du riz sauté et de la pâte de piments sur le camino,
et je serai riche...
Sinon, l'albergue est une telle institution ici,
que même les cigognes louent des chambres aux moineaux...
1 commentaire:
voilà c'est bien
tu as des projets de reconversion tu serais (tu es)une bonne hôtesse
;o)
au moins ch jour est différent ....
donc idem pour ton pied auj j'espère
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